Dépaysement Total...

"Seul le dépaysement constitue un remède à la douleur."
[Claude Lelouch]

10h30 :

Perdue dans son univers imaginaire, Akako était encré dans un profond sommeil, personne ne pouvait atteindre un de ses plus grand plaisir qu'était de dormir, elle aurait pût le faire éternellement, mais cela fût de courte durée car notre belle endormie allez sortir de son sommeil à cause de travaux qui se situer non loin de sa demeure, un résidence de plus pour la petite bourgeoisie...
Sa chambre était dans le noir le plus complet, seul le son était perceptible. Akako ouvrit donc les yeux, elle ne voyait rien, mais savait où était sa fenêtre, elle ouvrit donc les stores, peu à peu la lumière fit son apparition dans la pièce et progressivement on arrivait à voir l'intérieur et l'extérieur.
La jeune fille avait une chambre traditionnelle japonaise, pas de lit à l'européenne car son père voulait que sa fille s'habitue au rythme et au tradition du pays, Akako le voulait bien sur mais pas à ce point, la chambre était une grand sobriété, aucune tableau, ou alors seulement un mais à vrai dire pour elle, ce n'était pas l'un des plus fastidieux qui soit : la blason du clan des Yakuza...
La seule chose qu'elle aimer était le coulissement de sa fenêtre, typique des porte japonaise, elle avait eu droit à un très beau jardin, petit marais avec nénuphars, mini cascade d'eau, petit pas japonais, et des quelques arbres à perte de vue, le jardin était immense, mais cela n'était q'une partie de la demeure, bien que la résidence ce trouvait en plein coeur du quartier Kabukichõ, la matinée avait plutôt bonne, elle arrivait à peine à admirer le ciel, en revanche elle avait droit à une vue globale de toute le quartier, la ruelle où elle était semblée plus calme comparé au centre-ville, surement dût à l'influence du père, trop peu de gens s'aventure vers les demeures de Yakuza...
Elle sortie de sa chambre pour respirée un peu l'air des alentours, air qui pour elle n'était pas véritablement d'une pureté rare. Aoko était habillée d'un long kimono rouge de soie, c'est un tissu qui lui allait à ravir et la texture au toucher était très douce pour sa peau. Elle était un peu décoiffé avec quelques mèches de ses longs cheveux noirs tombantes sur le visage; on aurait pût croire qu'il s'agissait d'une rescapée des rue japonaise. Elle s'avança pour faire un tour dans le jardin, l'herbe était mouillée mais, Akako en avait rien à faire, Akako était dans une sorte de transe, quand elle se réveille c'est une autre personne, elle admirée et toucher les nombreuses plantes et fleurs, la nature l'inspirée beaucoup durant ses moments de création. Puis elle fixa la maison, elle la fixa longuement:

*Pourquoi suis-je là, j'ai mérité quoi pour être ici au final ? Pourquoi je ne suis pas quelqu'un de normal ? Je vais devoir subir cela toute ma vie ? J'aimerais tellement revenir à l'époque où j'était la petite fille sage que maman aimait tant....je ne vis trop que pour le passé, je n'avancerais jamais ainsi...*

10:45 :

Elle devait se rendre à l'évidence que son destin se trouvait en face d'elle : le Japon était peut-être le remède qui allait la rendre plus heureuse et lui faire oublier tout son passé ? Comment le savoir après tout...Elle se posa longuement la question pendant qu'elle revenait à sa maison, elle marchait doucement, ne regardant que ses pieds caressant l'herbe fraiche, si délicate, si sensible, si éphémère..Oui, la vie et le bonheur était éphémère. Quand elle releva sa tête, elle constata qu'un très grand nombres de serviteurs étaient là pour accueillir son réveil, il était au moins plus de 15 à s'être incliner pour elle.

-"Bonjour Oujo-sama..."
-"Bonjour.."

Elle fonça comme une furie devant eux, de plus, l'appeler "princesse" était de trop quand même, surement un ordre de son père une fois de plus, toujours à trop en faire, il aimait son image de grand dominateur...résultat tout le ses serviteurs l'appeler "Oujo".
Akako avait pas envie de s'habiller, elle voulait être tranquille toute la matinée à profiter de sa maison, elle sortie son ordinateur pour pianoter un peu tout en étant servie de nombreux plats, tout ce qu'avait besoin Aoko le matin était : café et céréales et rien de plus...Autant gaspiller de nourriture alors que d'autres personnes en mangerait jusqu'à étouffement...Voir ça était d'un dégoût, mais elle ne le montrée pas, elle faisait comme si de rien était tout en sirotant un thé à la vanille.

*Je me demande si ma vie ici sera aussi bien que ce que j'avais espérée jusqu'à maintenant...?*