Nom : Morinori
Prénom : Shinju
Age Anniversaire : 17 ans (1 juin 1991)
Origine : Japonaise
Métier : 2ème année de lycée à Matsudo Kokusai
Statut : Célibataire
Quartier de résidence : Magome
Hobbies : le dessins, le chant et la danse
Description physique : Comme vous avez pu constaté, j'ai de très longs cheveux châtain. J'ai des mèches blondes et brunes. Dans le fond, j'ai des cheveux tri couleur. J'ai de très beaux yeux bruns pâle. Ils reflètent ma gentillesse tout en reflétant mon confronte ment. J'ai plusieurs styles, je peux être habillée tout sorte de couleur un jour et l'autre être punk. Je suis de taille moyenne et d'un poids moyen. Ma peau est douce et soyeuse. Je n'ai pas la plus grosse poitrine, mais on la remarque quand même.
Description psychologique : Je suis une fille pleine de vie. Je ne suis vraiment pas gênée et donc, il m'est facile de me faire des ami (es). Certaines personnes me trouvent même un peu bizarre, mais je me fous de ce que le monde pense de moi. J'ai un très fort caractère, alors je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Tu me cherches, tu vas me trouver, voila ce que je pense toujours. Je suis aussi très directe quand je le veux bien. Je suis aussi quelqu'un de très gentille et attentionnée. Ma famille et mes ami (es) sont les personnes les plus importantes pour moi, donc je leur fais toujours attention.
Je ne suis pas une fille qui est toujours auprès des gars, mais j'aime beaucoup être le centre d'attention. Quelques fois, je ne pense pas avant d'agir ou de penser. Qu'est-ce que vous voulez, moi c'est tout, tout de suite. Je suis impatiente et un rien peut me faire perdre patience. Malgré ma fine silhouette, je manges énormément. J'ai un bon appétit. Sa l'étonne parfois les personnes avec qui je vais manger. J'aime beaucoup m'occuper des histoires de cœur des autres. Résoudre les problèmes de leur couple, faire connaître des personnes et aider les autres quand ils sont perdu en amour.
Histoire : Ma mère et mon père formaient un merveilleux couple. Après un an de mariage, ils ont décidé d'avoir un enfant et c'est de cette union que je suis née. Mon père incarnait le parfait mari, il était très gentil et doux. Tout les deux étaient très heureux. J'aimais beaucoup mon père. On jouaient tout les deux tous les jours quand j'étais toute petite.
Un jour, quand j'avais environ sept ans, je revenais de l'école et ma mère reçu un appel. Je me suis rapprochée d'elle, car elle avait les larmes aux yeux. Elle s'effondra d'un coup, elle mit son visage dans ses mains et elle pleurait et pleurait. Je me demandais ce qui se passait et ma mère me pris par le bras et m'amena à l'automobile. On étaient rendu à l'hôpital. Une fois entrée, je stressais et moi aussi j'avais les larmes aux yeux sans savoir pourquoi. On arrivaient à une chambre et il y avait énormément de monde. Ils courraient dans tout les sens. On attendait des
«bip bip» et tout d'un coup plus rien. Je n'avais jamais vu ma mère autant pleurer. Un médecin est venu nous voir et nous annonça un nouvelle qui changea ma vie. Mon père était mort dans un accident de voiture. C'est à partir de cet instant que je ne voyais plus la vie de la même manière.
Ma vie et celle de ma mère étaient rendu sombre. Elle avait tombée dans la dépression et elle ne sortait plus du tout. La vie ne l'intéressait plus du tout. J'essayais de lui remonter le moral, même si le mien était aussi bas que le sien.
C'est après un an de chagrin que ma mère décida de ressortir. Elle recommença à voir ses amies. Son moral remontait petit à petit. Deux mois plus tard, elle rencontra un autre homme. Il était très attentionné, mais je savais qu'il ne remplacerait jamais mon père biologique. Ma mère me forçait à l'appeler «papa». Je ne voulais pas, mais j'étais bien obligée.
Peu à peu je lui faisais confiance. J'avais du plaisir à faire des sorties en famille. Mais, ce n'est que quatre mois plus tard qu'il commença à boire et à devenir violent. Il battait ma mère et il me battait aussi. À l'école, tout le monde me prenait en pitié, car j'étais pleine de blessures. Une enseignante remarqua ces blessures et me garda après l'école. Nous parlions de mes problèmes familiaux. Elle me laissa partir. Le soir même la police débarqua et amena mon beau-père. Je me demandais ce qui se passait. Le lendemain, à l'école, la même enseignante m'a dit ce qu'elle avait fait. Je lui étais tellement reconnaissante. Je n'aurais jamais été capable d'appeler moi-même la police. Cette enseignante m'a marquée.
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Tamaki NamiVérification de la lecture des règlements :
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